La Rampe Tio

Beloneta

Spectacle éventuellement disponible sur commande, pour des séries de représentations.

Avec Beloneta (prononcez « Bélounette »), la Rampe TIO offre à son jeune public une parodie du conte merveilleux « L’aiga que dança, la poma que canta e l’aucèl de totas las vertats ».

L’eau qui danse, la pomme qui chante et l’oiseau de toutes les vérités est un conte universel occitan. On en retrouve la trame narrative dans de nombreuses cultures orales du monde, de la Méditerranée à l’Orient, comme dans L’oiseau Vert de Gozzi.

Un còp èra…

… Un roi jeune et brave vivait dans son château avec sa mère, la michanta Reine. Un jour qu’il se promenait dans les bois, il rencontra la fille du boscatièr dont il tomba fou amoureux, au grand dam de sa mère. Devant la détermination de son fils, elle dut se résigner à organiser les noces. La jalousie et la haine de la Reine mère feront prendre à cette belle histoire un tout autre tournant …

Thèmes, Théâtralité

Dans un registre merveilleux, Beloneta met en scène les mythes universels qui apaisent et nourrissent les peurs et désirs ancestraux de l’homme. Les éléments de la fable reposent sur les thèmes récurrents des contes traditionnels : la quête, le mystère, l’identité, l’amour, la haine, le pouvoir ; ainsi que les personnages qui les accompagnent : la marâtre, le prince, la fratrie, la fée… et la pomme !

Le conte permet l’échappée dans l’imaginaire. Le théâtre la suggère en privilégiant le déroulement de la fable, l’efficacité des dialogues, la stratégie et la dérision de ses personnages. La présence d’un conteur musicien et les chansons permettent aussi de renouer avec l’univers poétique du conte. Les partis-pris esthétiques (costumes et décors) répondent à cette problématique en proposant un univers ludique et original haut en couleurs.

Distribution

Écriture, adaptation : Jean-Louis Blénet
Mise en scène : Véronique Valéry
Comédiens : Anna Wasniowska, Véronique Valéry, Yves Durand
Création décors et costumes : Rosario Alarcon, Céline Arrufat
Réalisation des décors : Igor Bernardic, Jérémy Wagner
Accordéon et musique : Yves Durand
Arrangements voix : Jérôme Dru
Photographe : Marc Ginot